Glauque.
On voit bien qu'il n'y a pas de concurrence dans le domaine car franchement, presque tout est à revoir! Je passe sur les chambres équipées prison, les casiers militaires et le manque cruel d'ambiance pour en retirer quand même un aspect positif: nous y avons rencontré tout un tas de monde, d'âge et de milieux différents: travailleurs en attente d'un logement, voyageurs au long cours, visiteurs d'un jour…fréquentation éclectique et intéressante, nous avons ainsi pu élaborer notre itinéraire pour les jours suivants.
Nous avons réveillonné et fêté les 40 ans de Franck au Perrier! Nous nous rattraperons.
Du négatif? Les routes interdites, bloquées régulièrement par des kanaks enivrés et drogués, l'alcool qui semble être un problème symptomatique de l'île, et la vie qui y est chère: faire les courses relève de la gageure, d'autant plus que nous ne sommes plus habitués aux francs, et encore moins pacifique: 1200 CFP pour 1 euro, j'ai du mal à compter dans ce sens…il faut faire fonctionner les méninges qui se sont mises au ralenti ici avec la chaleur!
Voilà, nous avons donc racheté deux petites tentes, trois matelas mousse et trois sac à viande pour vivre les 15 prochains jours en mode camping, génial!
Au vu de l'état des connexions internet, vous me pardonnerez la mise en page des articles, je fais au plus simple car écrire tout ça relève déjà du simple défi!!!
Même si les paysages sont parfois idylliques, on sent bien dans vos commentaires que l'envie y est moins présente que chez les "voisins" Néozélandais comme quoi, lorsqu'un peuple n'a pas l'envie, rien, ou pas grand chose ne va.
RépondreSupprimerVous aurez tout de même passé des fêtes mémorables , vu de belles choses et fait le plein de souvenirs.
Nous vous embrassons tous les trois.
Les Biquets
Je ne connais pas la Nouvelle Calédonie, mais j'ai vécu à Tahiti !!!! He oui, j'ai passé le bac 1968 à Papeete, drôle n'est-ce-pas? C'était une période idyllique où entre 2 cours je faisais du ski nautique ou de la plongée en apnée. Les paysages y étaient merveilleux et la population adorable, j'espère que ça n'a pas changé. C'était l'époque où on logeait chez l'habitant dans les îles car il n'existait pas d'hôtel et on voyageait en hydravion car pas de pistes d'atterrissage.Nous y sommes retournés en 1981 c'était toujours aussi beau. Vous y ferez peut être un "grand" saut de puce un jour.Les îles ne sont pas grandes mais la Polynésie est vaste. Bisous à vous 3 MFB
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