De Franz Josef à Queenstown, en passant par Wanaka, le 12 décembre 2013
Au lendemain de notre visite au glacier, nous avons pris la route vers Queenstown.
Afin de couper la route en deux, nous avions prévu de nous arrêter à Wanaka, au bord du lac portant le même nom.
Notre chemin nous a fait goûter une dernière fois au splendide bord de mer, côte ouest, sous un ciel toujours menaçant, mais nous en avons pris l'habitude.
Après vent, pluie et embouteillage pour travaux, nous sommes enfin arrivés à destination sous la grisaille...pas très engageant de payer cher un camping en ville.
Nous avons donc flâné le long de la rive, admiré les voiliers glissant sur l'eau, envié les habitants de ces magnifiques maisons et appartement au bord du lac...
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| ?????? Je sais pas ce que c'est.... |
Puis nous avons repris notre route, allant chercher ailleurs si le soleil existe dans ce pays du bout du monde!
Nous sommes au début de l'été, la température devrait avoisiner les 25°C et au lieu de cela, nous subissons un petit vent frais qui nous met au suplice, et des nuits pouvant aller à 8°!
Pas facile pour le camping sauvage que j'avais budgété, nous ne faisons plus que 1 nuit sur 3 en free camping!
Pour cette nuit là, nous avons trouvé un endroit superbe, un peu après Wanaka.
La route qui mène à Queenstown en passant par Cardrona est absolument magnifique en cette saison.
Les lupins, fleurs que j'avais presque oubliées, se comptent par milliers, de toutes les couleurs. On les trouve essentiellement au bord des cours d'eau, mais on en a vu aussi couvrant des champs entiers. Je ne sais pas ce que donnent les paysages sans ces teintes de rose, violet et blanc, mais nous sommes ravis d'avoir eu la chance de les admirer ainsi.
Nous avons craqué et stationné le van à côté d'un ruisseau, entouré de fleurs odorantes. Juste magique.
Nous avons trouvé notre rythme de campeurs, je suis moi heureuse et reposée de ne plus avoir à faire les sacs à dos tous les deux jours, j'ai ma maison!
Franck retrouve le bonheur de faire la cuisine, moi la vaisselle. Et Gaétan peut faire ses devoirs tous les jours, sans exception!
Encore un coin superbe.
RépondreSupprimerJe comprends, Sandrine, que tu apprécies de ne pas faire trop souvent les bagages.
Je me posais la question des lessives. Pas simple en faisant de l'itinérant. Laver on trouve toujours un coin, mais ensuite il faut que ça sèche. Je te parle d'un autre temps, lorsque j'étais petite fille, nous faisions le tour du sud de Madagascar, en 4 Cv, et ma mère faisait sécher le linge sur un bâton par la fenêtre en roulant. A l'époque nous étions seuls sur les routes ou plutôt les pistes!!! Bon souvenir pour moi.
Bisous à vous trois. A très bientôt. MFB